Deux mondes, deux réalités, deux légitimités
La DSI
- Responsable de la sécurité, de l’interopérabilité, de la cohérence avec le SI existant
- Focalisée sur la robustesse, la documentation, la conformité, la maintenabilité
- Exposée au risque technique, à la dette applicative, aux exigences réglementaires
Les métiers
- Responsables de la performance opérationnelle, de l’expérience utilisateur, de l’impact concret
- Focalisés sur l’efficacité terrain, la rapidité d’exécution, la clarté des interfaces
- Exposés au risque d’inadéquation, de retard, ou de complexité inutile
Aucun des deux n’a tort. Mais ils parlent souvent des langages différents, avec des calendriers, des contraintes et des priorités qui ne se recoupent pas naturellement.
Ce que nous voyons sur le terrain
Ces écarts de culture ou de logique ne sont pas des exceptions : ils sont fréquents, parfois prévisibles, et toujours gérables… à condition de les anticiper. Quelques exemples (parfaitement anonymisés, mais très représentatifs) :
- Un groupe industriel où la DSI a bloqué l’activation d’un connecteur métier (pour des raisons de conformité RGPD) retardant le projet de six semaines.
- Une entreprise de services où les métiers ont exigé un dashboard UX très interactif, sans anticiper l’impact sur la performance ou la charge côté back-office.
- Une fédération où les équipes métier avaient validé des maquettes très tôt… avant même que la structure de contenu ou les permissions Drupal ne soient définies.
Ce ne sont pas des accidents. Ce sont des signaux faibles qu’un partenaire expérimenté doit interpréter et traduire pour que chacun se sente écouté, compris et aligné.
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Notre posture : orchestrer plutôt qu’arbitrer
Nous ne choisissons pas un “camp”. Nous considérons que notre mission est d’aider chaque partie prenante à faire son travail dans de bonnes conditions. Notre expérience des grands projets nous a appris à :
- Anticiper les zones de friction entre sécurité et agilité, rapidité et conformité
- Traduire les besoins métier en contraintes techniques acceptables
- Adapter notre méthode à chaque environnement client (gouvernance centralisée, équipes mixtes, comités croisés)
- Parler à la fois le langage des DSI (documentation, conformité, architecture) et celui des métiers (expérience utilisateur, temps de réponse, fluidité)
Nous jouons un rôle d’interface intelligente, qui sécurise le projet sans le ralentir, et fait gagner du temps à tous.
Ce que cela change pour nos clients
- Moins de malentendus entre directions
- Moins de livrables bloqués en validation
- Moins d’arbitrages douloureux en fin de projet
- Et surtout : des outils qui fonctionnent vraiment, pour les bons utilisateurs, dans un cadre sécurisé et maîtrisé
Notre méthode en 5 points (extrait)
(Disponible en version PDF téléchargeable sur demande)
- Atelier amont croisé DSI / métiers, animé par nos consultants, pour cadrer dès le début les contraintes de chacun
- Cartographie des dépendances et définition des jalons critiques côté sécurité, interopérabilité, et UX
- Double validation des maquettes (expérience utilisateur & faisabilité technique)
- Documentation structurée pour chaque profil (métier, DSI, contributeur, décisionnaire)
- Comité projet avec gouvernance partagée et arbitrages sur des critères objectifs
Conclusion
Quand une organisation confie à un prestataire externe un projet digital structurant, elle ne lui demande pas uniquement un livrable technique. Elle lui demande, souvent sans le formuler explicitement, de faire le lien entre des équipes internes qui n’ont ni les mêmes logiques, ni les mêmes contraintes, ni les mêmes marges de manœuvre. C’est précisément ce que nous savons faire. Et c’est, très souvent, ce qui fait la différence.D
